La Promesse Brel

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La Promesse Brel

Arnaud Askoy
Roland Romanelli
Jean-Philippe Audin

« Y’a quand même un p’tit air de Brel ! »

Cette phrase qu’Arnaud Askoy a entendue depuis son adolescence ne suffit pas à promettre le « retour » de Jacques Brel sur scène. Brel est unique et inimitable.

Cependant, ce sont bien des sceptiques, tels Pierre-Nicolas Cléré et Jacques Roques, producteurs du spectacle et admirateurs inconditionnels du grand Jacques, ou encore le musicien et arrangeur Roland Romanelli avec son complice Jean-Philippe Audin au violoncelle qui vont se laisser surprendre en croisant le chemin d’Arnaud.

Constat simple et inattendu : ça « pique ».

C’est la flamme personnelle d’Arnaud Askoy, cette charge émotionnelle, intime et généreuse, qui doit venir vous bouleverser, faire naître une magie comparable à celle de l’époque mais bien ancrée dans le présent, comme une toile impressionniste vivante.

Telle est la promesse de toute l’équipe du spectacle : « Ceci n’est pas Brel ! » aurait dit Magritte, laissez-vous faire…

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biographie

Des Stups à la scène

« Je me destinais au métier d’ingénieur en aéronautique. Après un bac scientifique, j’ai fait deux années d’école d’ingénieur mais ça ne m’a pas autant passionné que je l’avais imaginé. J’ai donc bifurqué vers une autre voie pour devenir inspecteur de police judiciaire.
J’ai d’abord travaillé dans un service consacré aux affaires criminelles avant de rejoindre les Stups. Après quinze ans de bons et loyaux services, j’ai quitté la police pour devenir détective privé.

Enquêtes, planques et filatures rythmaient mon quotidien. C’est d’ailleurs pendant une planque que j’ai découvert Jacques Brel et que ma vie a basculé. »

Jacques Brel, une révélation !

« J’avais loué un appartement pour une planque et, hélas, j’avais oublié ma musique chez moi ! J’ai cherché un peu partout. Il y avait un lecteur de CD avec un disque dedans. Je fais « Play ». C’était Jacques Brel ! Depuis le temps qu’on me rabâchait que je lui ressemblais ! Pourtant, je ne m’étais jamais intéressé à son oeuvre. Je suis plutôt de la génération des années 80 ! Je ne connaissais que les grands standards de son répertoire comme Amsterdam ou Ne me quitte pas.

Dès les premières notes, j’ai été époustouflé. L’orchestration, les arrangements, les paroles, l’interprétation, tout m’a immédiatement séduit ! Je l’ai écouté en boucle et, comme j’étais tout seul dans l’appartement, je me suis mis à chantonner. Je me suis aperçu que ma voix se posait assez facilement sur la sienne et que son style de chanson semblait me convenir. Je me suis même enregistré avec mon téléphone portable.

Le soir-même, j’ai appelé ma mère, qui était alors plus familière du chant que moi car elle chantait dans des chorales, et je lui ai fait écouter l’enregistrement. Elle m’a demandé qui chantait et quand je lui ai dit que c’était moi, elle a été à la fois stupéfaite et éblouie.

Et elle a été encore plus surprise quand je lui ai annoncé de but en blanc que je mettais fin à mon activité de détective privé pour chanter Jacques Brel. » 

D’une ressemblance troublante à l’incarnation

« Conscient qu’une ressemblance physique est un point de départ mais ne suffit pas pour incarner Jacques Brel, j’ai considérablement travaillé. J’ai commencé par prendre des cours de chant avec la professeure de ma mère. Ce que je ne savais pas, c’est que ma mère lui avait demandé si j’avais du potentiel et si elle décelait en moi un vrai talent.

Apparemment, elle en était persuadée, puisque six mois plus tard, elle m’a parachuté dans un spectacle consacré à Brel sur la scène d’un petit théâtre parisien. Les débuts n’ont pas été faciles, mais j’ai deux souvenirs qui me reviennent : un festival à l’Alhambra baptisé Emergenza, puis quelques représentations chez Michou où j’incarnais Brel avant le spectacle des transformistes. Alors que je chantais parfois dans la rue ou dans le métro, la chance m’a souri station Georges V. Pierre-Nicolas Cléré, producteur, s’est arrêté, m’a écouté et m’a tout de suite proposé de me faire monter sur scène. Je suis passé de la lumière blafarde du métro à la douce chaleur des projecteurs. Évidemment, pour incarner au plus près Jacques Brel, je n’ai pas travaillé que ma voix. J’ai regardé plus de trente fois son dernier concert à l’Olympia pour m’inspirer du personnage.

J’étudiais la gestuelle pour me l’approprier. L’idée n’est pas de copier le moindre de ses mouvements, mais d’interpréter ses chansons « dans l’esprit de Jacques Brel », même s’il y a certains gestes-clés sur quelques chansons qu’il ne faut vraiment pas louper.  

Quand je chante Les bonbons, si je ne tends pas la main en faisant comme si j’avais un paquet de bonbons au bout des doigts, il manquerait quelque chose.

Bien sûr, je me coiffe comme lui et mon costume se rapproche fortement de celui qu’il portait à l’époque.

Quand une personne me dit : « Je n’ai pas eu l’occasion d’applaudir Jacques Brel sur scène mais ce soir, grâce à vous, j’ai eu l’impression de le voir », c’est le plus beau compliment que l’on puisse me faire ».

Roland Romanelli

Piano-Accordéon

« J’ai eu la chance de collaborer avec les plus grands dans ma carrière, de Barbara à Aznavour.

Mais l’artiste qui me faisait rêver depuis mon adolescence et que je rêvais d’accompagner, c’était Jacques Brel. Malheureusement, il a mis fin à sa carrière avant que ce rêve ne se réalise.

Aujourd’hui, en jouant au côté d’Arnaud Askoy – qui ressemble étrangement au Grand Jacques ! – j’ai le plaisir d’explorer ce répertoire magnifique.

Arnaud, lui rend le plus beau des hommages et moi, j’ai enfin la chance de réaliser ce rêve d’adolescent que je ne pensais jamais pouvoir concrétiser ».

Jean-Philippe Audin

Violoncelle

« Musiciens, nous avons tous nos raisons de n’avoir pu accompagner le grand Jacques en scène. Pour ce qui me concerne, je suis simplement né trop tard. Je l’ai pourtant rencontré souvent, par bouts d’âme, si j’ose dire, en accompagnant les mêmes chansons avec Johnny Hallyday au Zénith, Juliette Gréco et Gérard Jouannest, LE pianiste et complice du grand Jacques, Serge Lama et d’autres.

La nécessaire sincérité qu’imposent ses textes et leur interprétation sont les garants de moments inoubliables. Les arrangements toujours très inspirés du grand témoin du temps qu’est mon ami Roland Romanelli, et les commentaires

du violoncelle sont le décor nouveau où s’exprime l’engagement de ce double troublant qu’est Arnaud Askoy. »

 

L’avis des spectateurs :

DU TALENT A REVENDRE (Pastis)

Quel grand moment j’ai passé avec Arnaud Askoy, il n’imite pas Brel, il est inimitable, il chante avec ses tripes, il incarne le Grand Jacques avec son propre talent. Un spectacle comme on aimerait en voir plus souvent, sobre, sincére, enfin

parfait.Rolland Romanelli et le violonceliste lui donnent la réplique tout simplement. Je n’ai qu’une hate revoir ce spectacle. BRAVO MESSIEURS.

LA MAGIE DE BREL,INTACTE ! (Larum)

Merveilleuse soirée, un chanteur et des musiciens exceptionnels. Merci pour ce moment d’émotion et de souvenirs. A entendre absolument…

MOMENT DE GRÂCE (Clémenttt)

Dès la 1ere chanson, nous sommes emmenés sur les Marquises. La suite du voyage n’est qu’enchantement. Une présence, une voix, des merveilleuses énergies qui se dégagent de cette scène. Merci et bravo pour ce moment hors du temps !

BELLE PROMESSE (Titivero)

Ce n’est pas le grand Jacques, mais on en est pas loin. Tous y est, les mimiques, les sourires, les gestes et la voix. Merci à l’artiste de nous avoir fait vibrer. A voir sans hésiter.

À la télé…

EXCEPTIONNEL ET FORMIDABLE ! (Manumarie)

Un spectacle à ne pas rater si vous aimez Brel. Arnaud Askoy est époustouflant.

On a les poils qui se dressent dès les premières secondes et sa prestation résonne dans votre tête les jours qui suivent ce spectacle ! On a qu’une envie y retourner avec les amis et la famille pour leur faire partager ce grand moment de bonheur ! N’hésitez pas !

 

MAGNIFIQUE (Marceline92)

Je ne suis pas sûre que Mathilde soit revenue mais BREL oui !!!! Arnaud Askoy interprète avec grand talent le répertoire de Jacques Brel. Il y ajoute sa touche personnelle avec grande humilité. Deux musiciens hors pair l’accompagnent pour mettre en valeur le répertoire. Allez-y sans hésiter et retournez-y avec bonheur ! C’est ce que je vais faire sans tarder. Belle mise en scène évidemment 😉

PROMESSE TENUE (75veronique)

Une performance ! Pour qui n’a pas vu le Grand Jacques sur scène, c’est une découverte impressionnante. Et pour qui l’a vu, comme moi, c’est parfois à la limite de la magie. Autant dans la gestuelle, que dans les intonations, et même

physiquement, Arnaud Askoy pousse le mimétisme avec BREL au delà du possible, à tel point qu’à plusieurs moments on a l’impression fugitive de sa vraie présence sur scène! Les musiciens dont la qualité n’est pas à démontrer, la mise en place parfaite, tout cela fait un bien fou! courez-y, c’est stupéfiant, jouissif et hors norme !

La presse en parle

« Ce n’est pas un tour de chant, c’est un tour de force. C’est hors du commun ! » BFM TV

« Dans la salle, je ne savais plus si j’étais devant une image d’archive de Jacques Brel ou si j’étais en train de voir un spectacle vivant. » FRANCE 2

« Accompagné à l’accordéon par Roland Romanelli et au violoncelle par Jean-Philippe Audin, il offre une interprétation magistrale. Il chante avec son corps. » LE FIGARO

« Traits, débit, signature vocale, la ressemblance d’Arnaud Askoy avec Brel est frappante. » TÉLÉRAMA SORTIR

 

 

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